On pourra notamment lire dans cet article :
Dans une recommandation du 16 mars 2006, la CNIL précise la grille des finalités qui peuvent être poursuivies par la géolocalisation: sa mise en oeuvre n’est admissible que dans le cadre de « la sûreté ou la sécurité de l’employé lui-même ou des marchandises ou véhicules dont il a la charge », d’une « meilleure allocation des moyens pour des prestations à accomplir en des lieux dispersés », du « suivi » et de la « facturation d’une prestation de transport de personnes ou de marchandises ou d’une prestation de services directement liée à l’utilisation du véhicule », et du « suivi du temps de travail » mais uniquement « lorsque ce suivi ne peut être réalisé par ’autres moyens ». La CNIL exclut le recours à la géolocalisation « lorsqu’un employé dispose d’une liberté dans l’organisation de ses déplacements ».