Un motif jugé imprécis, formulé en termes généraux et sans mention des griefs exactement reprochés au salarié, équivaut à une absence de motif, ce qui rend le licenciement sans cause réelle et sérieuse(Cass. soc., 29 novembre 1990, n° 88-44.308). Dans un arrêt du 12 janvier, la Cour de cassation juge opportun de rappeler le caractère impératif de ce principe,