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A l’issue des élections aux CSE closes le 26 mars 2018, la CFE-CGC devient le premier syndicat de l’UES Solvay France. Avec un score de représentativité de 38,81%, elle détrône la CGT (34,1%) ainsi que la CFDT (27,09%) qui perd sa première place.
Jusque-là troisième organisation syndicale, la CFE-CGC passe en tête de l’UES Solvay France avec 81% des voix dans le collège cadres et ingénieurs. Nous remarquons que même dans le collège techniciens agent de maîtrise, nous prenons de loin la première place avec 48,8%, ce qui nous permet d’obtenir 38,81% tous collèges confondus. La CFE-CGC progresse de 6,5 points par rapport aux élections de 2014, avec un taux de participation moyen de 75%.
Ce résultat est le fruit d’une stratégie payante adoptée par la CFE-CGC, qui rappelons le, n’avait pas signé le dernier accord NAO mais avait obtenu un rattrapage salarial au profit de certains cadres à la suite d’un contentieux.
Daniel Kempf, coordinateur CFE-CGC du groupe, commente : "Nous avons défendu les salariés dans le cadre des réorganisations en cours, adopté des positions fermes lors de la dernière NAO et réalisé un important effort d'information sociale et syndicale via notre nouveau site intranet."
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Après consultation de ses instances, la CFE-CGC a signé
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- l’accord national interprofessionnel sur l’assurance chômage.
- l'accord national interprofessionnel sur la formation
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Le 21 décembre 2017, la chambre patronale et la CFDT de la chimie ont signé un accord sur les salaires minima de la branche.
Les organisations syndicales FO, CFE-CGC et FNIC-CGT, majoritaires dans la branche, s’opposent fermement à cet accord :
D’abord parce qu’il est inacceptable que des salaires minima en arrivent à être inférieurs au SMIC ! En effet, pour la première fois depuis au moins 2006, la grille salariale met le coefficient 130 en dessous du SMIC dès son entrée en application au 1er janvier 2018, alors que chacun des négociateurs savait, depuis le 15 décembre 2017, le montant de la revalorisation du SMIC annoncée par le gouvernement. Dans ces conditions, signer un accord d’augmentation du point de référence au calcul des salaires minima à un niveau inférieur à celui du SMIC revalorisé est clairement révélateur d’une volonté d’abaisser les salaires de la branche