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Rapport Assises du travail : ce qui pourrait bien changer votre vie professionnelle dans les mois à venir
RAPPORT ASSISES DU TRAVAIL - La réforme des retraites à peine votée, le gouvernement avait promis de s’attaquer au travail. Ou plutôt de s’attaquer aux maux des travailleurs et de leurs employeurs. Le rapport du Conseil national de la refondation vient d’être remis ce jour au ministre du Travail par Sophie Thiéry, présidente de la commission travail et emploi du Conseil économique social et environnemental (Cese), et de Jean-Dominique Senard, président du groupe Renault. Réalisé à l’issue des Assises du travail, le titre est alléchant : « Re-considérer le travail ». Voilà ce qui pourrait bien changer (par la loi, des accords de branche, des accords d’entreprises…) dans votre vie professionnelle dans les mois à venir, si les propositions qu'il contient venaient à être suivies d’effet.
Source : Cadre Emploi
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L’abandon de poste ne donne plus droit au chômage.
Jusqu’à présent, les salariés qui ne venaient plus travailler sans justification finissaient en général par être licenciés pour faute et pouvaient alors percevoir des indemnités de chômage.
Un salarié qui abandonne son poste de travail et ne l’a pas repris deux semaines après une mise en demeure sera désormais, sauf s’il s’agit d’un cas particulier, présumé démissionnaire, ce qui le privera de l’assurance-chômage, selon un décret paru mardi 18 avril au Journal officiel.
Cette disposition avait été adoptée à la fin de 2022 dans le cadre de la réforme de l’assurance-chômage. Jusqu’à présent, les salariés qui ne venaient plus travailler sans justification finissaient en général par être licenciés pour faute par leur employeur. Ils pouvaient alors percevoir des indemnités de chômage.
La présomption de démission ne s’applique pas dans les cas où le salarié fait valoir des raisons médicales, l’exercice du droit de retrait ou du droit de grève, le refus d’exécuter une instruction contraire à une réglementation ou une modification de son contrat de travail à l’initiative de l’employeur.
Selon une étude publiée en février par la Dares, le service statistique du ministère du travail, les abandons de poste étaient au premier semestre de 2022 le premier motif (71 %) de licenciement pour faute grave ou lourde devant les autres causes disciplinaires (27 %). « Cela représente 123 000 salariés, dont 116 000 en CDI », précise la Dares.
Dans les trois mois suivant l’abandon de leur CDI, 55 % des personnes s’inscrivent à Pôle emploi et 43 % ouvrent un nouveau droit à l’assurance-chômage.
Ces abandons de postes ne représentent cependant que 5 % des fins de CDI, loin derrière les démissions (43 %), les ruptures conventionnelles (12 %), les fins de périodes d’essai (12 %) et les licenciements (11 %).
Source : LE MONDE
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Un 1 er Mai unitaire et populaire pour le retrait !
Les propos, ce soir, tenus par le président de la République démontrent qu’il n’a toujours pas compris la colère qui s’exprime dans le pays et s’obstine. Il doit respecter la démocratie sociale et le rejet très majoritaire de cette réforme par la population.
En s'entêtant, l’exécutif ne prend pas conscience de la responsabilité qu’il porte en s’enfermant dans le déni et il est le seul responsable d’une situation explosive sur l’ensemble du pays.
Depuis 3 mois, le rejet de la réforme des retraites est toujours aussi massif. Après avoir promulgué la loi dès vendredi, le Président de la République confirme dans son allocution, son mépris à la fois envers les organisations syndicales et envers les jeunes et l’ensemble de la population.
L’intersyndicale confirme qu’elle ne participera pas aux réunions avec l’exécutif, ni à celle de demain avec le Président de la République.
Durant 12 journées de manifestations puissantes, de grèves, d'actions et d'initiatives locales, dans les entreprises, dans les services publics et sur les lieux d’étude, l'intersyndicale a mobilisé des millions de travailleurs, travailleuses, de jeunes et retraité.es.
L’intersyndicale appelle à faire du 1er mai une journée de mobilisation massive, unitaire et populaire contre la réforme des retraites partout sur le territoire, dans le calme et la détermination.
Elle invite tous les travailleurs et travailleuses, jeunes, retraité.es comme l’ensemble de la population à s’y rendre massivement, entre collègues de travail, amis, en famille pour obtenir l’abrogation de cette réforme injustifiée, brutale et injuste.
Les secrétaires généraux et présidents et co-délégué-ées des organisations syndicales et de jeunesse participeront à la manifestation à Paris en présence de représentants syndicaux internationaux en soutien à notre lutte. Uni-es, ensemble, déterminé-es pour la justice sociale.
Paris, le 17 avril 2023
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Suite à la rencontre de l'intersyndicale avec Elisabeth Borne, découvrez la réaction et la conclusion de François Hommeril.